Bien que le taux de métabolisme moyen des buveurs modérés produise une baisse de 0,017 par heure du taux d’alcoolémie (appelé ici « moyen »), et que le taux de métabolisme moyen des gros buveurs (qui consomment 60 verres ou plus en un mois) produise une baisse de 0,02 par heure (appelé ici « supérieur à la moyenne »), la plage du taux de métabolisme dans la population peut aller au-dessus de 0,040 et au-dessous de 0,010. On peut soit utiliser dans le calcul le taux de métabolisme moyen (déclin de 0,017 par heure), soit, si l’on souhaite utiliser un chiffre très prudent (que moins de 20 % de la population présenterait), utiliser .012 par heure de déclin (ici appelé « inférieur à la moyenne ») Si l’on veut être sûr de pouvoir déterminer quand notre taux d’alcoolémie est revenu à zéro, il serait bon d’utiliser ce chiffre très conservateur (inférieur à la moyenne).
Déclaration de l’Association des brasseurs
Le taux d’absorption de l’alcool dans le sang et son métabolisme ultérieur dépend de l’individu. Quelques éléments à connaître :
- La quantité de nourriture dans votre estomac – La nourriture ralentit l’absorption de l’alcool mais n’empêche pas l’intoxication.
- Santé mentale et physique – La maladie, la dépression, le stress ou la fatigue peuvent augmenter les effets de l’alcool.
- Pourcentage de graisse corporelle – L’alcool affectera moins une personne bien tonique qu’une personne ayant un pourcentage de graisse corporelle plus élevé, même si les deux personnes ont le même poids.
- Médicaments – Les médicaments peuvent augmenter l’influence de l’alcool. Suivez les conseils de votre médecin avant de mélanger les deux.
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