11 Façons dont les femmes géraient leurs menstruations avant les serviettes hygiéniques et les tampons

Avez-vous déjà imaginé ce que les femmes utilisaient pour leurs menstruations avant l’invention des serviettes hygiéniques et des tampons ? Eh bien, c’était difficile à l’époque, quand les femmes n’avaient pas d’autre choix que d’utiliser des choses incroyables comme le bois, la mousse pour combattre leur tante Flo !

Voici onze choses incroyables (dix en fait) quand les femmes utilisaient des méthodes d’assainissement vraiment dangereuses pour leurs menstruations.

Papyrus

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Les anciens Égyptiens utiliseraient le papyrus pour combattre le flux mensuel. Le papyrus est le papier épais qui était utilisé comme papier pour écrire à cette époque. Les femmes faisaient tremper le papyrus, le ramollissaient, puis l’utilisaient comme serviette hygiénique. On peut encore se demander dans quelle mesure le papyrus retenait le flux…

Mousse

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À l’époque, la mousse était utilisée comme produit menstruel ! Les dames avaient l’habitude de se procurer de la mousse et de la plier en un tissu, puis de placer ce tissu à l’intérieur de leurs sous-vêtements. Bien que ce soit une idée intelligente, mais qu’en est-il des autres organismes qui sont coincés dans la mousse ? Ne serait-ce pas un problème, on se le demande !

Sable

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Les Chinois avaient l’habitude de fabriquer des tampons périodiques en mettant du sable dans un tissu et en l’enveloppant étroitement. Une fois que le tampon était mouillé, ils avaient l’habitude de jeter le sable, de laver le tissu et de le réutiliser le mois suivant.

L’herbe

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En Afrique et en Australie, les femmes utilisaient l’herbe comme tampon pour absorber le flux. L’utilisation de l’herbe pour prévenir les ballonnements n’était pas une méthode sûre car les herbes dans les régions arides sont pointues et rugueuses et pourraient facilement causer des dommages à la peau.

Ceintures sanitaires

musée de la menstruation

Les ceintures sanitaires étaient la pré-version des serviettes hygiéniques. Les ceintures étaient essentiellement des couches avec des ceintures élastiques sur lesquelles les tampons de coton devaient être clipsés puis utilisés. Les ceintures ont été inventées dans les années 1800 et elles sont restées populaires jusqu’aux années 1970, après quoi quelqu’un a trouvé un moyen de détacher les sangles et de les utiliser ensuite.

Bandages

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Les bandages étaient l’invention des infirmières de la Première Guerre mondiale. En France, les infirmières utilisaient les bandages pour soigner les soldats blessés. Puisqu’il absorbait le sang, les infirmières ont pensé pourquoi ne pas l’utiliser pour absorber leur flux naturel.

Vieux chiffons

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C’est triste mais vrai que la plupart de nos grands-mères et probablement même nos mères utilisaient de vieux chiffons de tissu pendant leurs règles. De vieux vêtements, surtout en coton, étaient déchirés pour être utilisés comme vêtements menstruels. Une fois qu’ils étaient mouillés, ils étaient lavés et utilisés la fois suivante. Bien qu’ils causaient de l’inconfort, mais ils étaient toujours une meilleure option que l’herbe ou le sable, c’est certain!

Laine

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Les femmes romaines avaient l’habitude de rouler la laine de mouton et de l’utiliser en bas. La laine étant trop lourde, c’était une vraie plaie, sans oublier qu’elle devait aussi sentir mauvais !

Bois

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Comment ? ! Eh bien, les Grecs l’utilisaient et nous devons dire qu’ils sont une nationalité forte pour y survivre. Les Grecs avaient l’habitude d’attacher de petits morceaux de bois avec de la charpie, puis de les insérer dans leur corps. Le sang n’était pas vraiment absorbé, mais la charpie l’était. Imaginez ce qui se serait passé si le bois s’était détaché ! Nous avons de la peine pour nos sœurs grecques, c’est sûr!

Des fourrures d’animaux

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Les femmes qui vivaient dans des climats plus froids dépendaient des fourrures d’animaux à cette époque. Comme les régions plus froides sont maudites par la glace, les denrées disponibles pour la survie sont limitées. Ainsi, les femmes utilisaient la fourrure des animaux qu’elles tuaient pour empêcher leurs fluides naturels de tacher leurs vêtements.

Rien

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